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Jean-René Aymes (1937-2020)
 
Deux textes d'hommage, écrits par Serge Salaün et Françoise Étienvre, ont été publiés sur le site du CREC. Un extrait de l'entretien (vidéo) réalisé par Ivanne Galant et Jorge Villaverde, dans le cadre de leur projet "Des hispanistes en voyage", est également disponible à cette adresse-ci.
 
Voici également le texte d'hommage rédigé par Marie-Angèle Orobon et Frédéric Prot, qui paraîtra dans la revue Les Langues Néo-Latines, nº 395, de décembre 2020 et que nous reproduisons avec l'accord de sa directrice, Catherine Heymann, que nous remercions infiniment :
 
L’hispanisme vient de perdre en Jean-René Aymes un de ses plus éminents historiens. Spécialiste de l’Espagne des Lumières, de la Guerre d’Indépendance, du libéralisme révolutionnaire et du romantisme, il laisse une œuvre considérable dont l’importance lui valait admiration et respect en France et surtout peut-être en Espagne. Parce qu’il fut pionnier dans plusieurs de ses domaines d’investigation, il était une autorité, même si, par une ineffable réserve qui était son élégance, il aurait vivement récusé le mot. Aussi tous ceux qui l’ont connu et ont bénéficié de son savoir, ressentent, au souvenir de sa générosité et de sa gentillesse, une profonde tristesse depuis sa mort, survenue brutalement le dimanche 8 novembre.
Professeur émérite de l’Université de la Sorbonne Nouvelle-Paris 3, Jean-René Aymes a consacré ses recherches et son enseignement à l’histoire politique et culturelle de l’Espagne à une époque décisive de sa transition vers la modernité (dernier tiers du XVIIIe siècle - première moitié du XIXe siècle). Comme tel était son caractère, il pratiqua le métier d’historien à hauteur d’homme. Il s’attacha à l’expérience individuelle de la violence politique, dans la guerre, la déportation et l’exil notamment, et celle collective de la construction d’une société autour de valeurs fédératrices.
Né en 1937 à Fumel (Lot-et-Garonne), Jean-René avait intégré l’École Normale Supérieure de Saint-Cloud par la voie du mérite après s’être distingué au sein de l’École Normale Primaire, comme cela était possible à l’époque. Agrégé d’espagnol, il enseigna quelques années dans le secondaire avant de devenir maître-assistant à l’Université de Caen. En 1979, il était élu Professeur à l’Université de Tours puis, en 1991, à celle de Paris 3- Sorbonne Nouvelle où il enseigna jusqu’à son éméritat en 2000.
Plusieurs fois directeur d’UFR, il développa une grande activité au sein d’équipes de recherche dont il fut le (co)fondateur : le CIREMIA (Centre Interuniversitaire de Recherche sur l’Éducation et la Culture dans le Monde Ibérique et Ibéro-américain) lancé à Tours en 1985 au côté d’Ève-Marie Fell et de Jean-Louis Guereña, auquel il resta fidèle après son élection à la Sorbonne Nouvelle en participant à tous ses colloques ; le CRODEC, à Paris 3, en 1991 (Centre de Recherche sur les Origines de l’Espagne Contemporaine) dont le statut de « Jeune Équipe », selon la dénomination institutionnelle, amusait Jean-René du fait, disait-il en souriant, de « l’âge du géniteur » ; et le CREC en 1996 au côté de Serge Salaün (Centre de Recherche sur l’Espagne Contemporaine).
A Tours, où il présida la Régionale de la Société des Langues Néo-latines, Jean-René reprit le flambeau de la série des Études Hispaniques créée quelques années auparavant par Augustin Redondo. Les volumes qui parurent sous son impulsion furent consacrés à des thèmes alors novateurs : « Communautés nationales et marginalité », « Voyages et séjours d’Espagnols et d’Hispano Américains en France ». Soucieux de synergies entre chercheurs, il s’engagea avec enthousiasme dans des travaux sur la question pionnière de l’Éducation (colloques de 1987 sur « École et Église », puis, de 1990, sur l’Université), alors que le thème commençait seulement à émerger en Espagne. Il coédita ainsi plusieurs ouvrages : École et société en Espagne et en Amérique latine (XVIIIe-XXe siècles) (1983) ; L’enseignement primaire en Espagne et en Amérique latine du XVIIIe siècle à nos jours–Politiques éducatives et Réalités scolaires (1986) ; ou encore Matériaux pour une histoire de la scolarisation en Espagne et en Amérique latine (XVIIIe-XXe siècles) (1990). Avant de cofonder le CIREMIA, il anima l’équipe de recherches hispaniques de l’Université de Tours baptisée « Mentalités et comportements collectifs dans le monde ibérique et ibéro-américain ».
L’approche comparatiste et transdisciplinaire de la culture défendue pendant sa carrière tourangelle se trouva amplifiée au sein du CRODEC de Paris 3. Ce groupe allait réunir, selon le vœu de son fondateur, chercheurs français, espagnols et nord-américains, en inscrivant au cœur de ses problématiques le point de vue comparatiste, c’est-à-dire les influences, modèles, contacts, conflits entre France et Espagne et, plus généralement, « l’image de l’autre ». Deux ouvrages, fruits de deux colloques organisés en 1993 (en collaboration avec Françoise Étienvre et Claude Morange de l’Université de Paris 3) et en 1995 (avec Javier Fernández Sebastián, de l’Universidad de País Vasco), portèrent à la connaissance du public les réflexions transpyrénéennes menées au sein du CRODEC selon des perspectives novatrices –notamment l’interdisciplinarité– et dans des champs encore peu explorés à l’époque : la lexicographie comparée, les mentalités et les différentes formes de sociabilité.
Les séminaires mensuels du CREC qu’il anima conjointement à Serge Salaün jusqu’à son départ à la retraite en 2000 ont donné lieu à trois coéditions aux Presses de la Sorbonne Nouvelle : Être espagnol (2000), Le métissage culturel en Espagne (2001), Les fins de siècle en Espagne (2003).
L’historien qu’était Jean-René Aymes trouva, dans les années soixante-dix, un premier grand foyer d’expression dans les célèbres colloques de Pau organisés par Manuel Tuñón de Lara, où se retrouvaient des historiens espagnols –parmi lesquels Alberto Gil Novales ou Antonio Elorza– et de jeunes hispanistes qui allaient marquer d’une impulsion nouvelle le domaine de l’histoire contemporaine, Jacques Maurice, Brigitte Magnien, Jean-François Botrel, Carlos Serrano, Paul Aubert, Jean-Michel Desvois, Gérard Brey et Jean-Louis Guereña.
Sa thèse d’État, soutenue en 1978 sous la direction du professeur Paul Guinard (Paris IV) et publiée en 1983 sous le titre La déportation sous le Premier Empire. Les Espagnols en France (1808-1814) (Paris, Publications de la Sorbonne) a constitué « un apport des plus considérables à la connaissance de l’une des périodes les plus difficiles des relations franco-espagnoles » (Gérard Dufour, Bulletin Hispanique, n°3-4, 1984).
Il ne fait pas de doute que Jean-René Aymes a représenté cet hispanisme rayonnant et conquérant de nouveaux terrains d’étude, comme la littérature de voyage (L'Espagne romantique : témoignages de voyageurs français, Paris, 1983), la presse et les arts. Il a été l’un des pionniers, dans le domaine hispanique, de l’histoire culturelle et de l’histoire des concepts, revenant et enrichissant sans cesse sa réflexion sur les notions clés de l’ère contemporaine : liberté, nation ou souveraineté – mots qui, disait-il, étaient des « armes de combat » dotées d’« une force terrible ». Ses travaux se distinguent, outre par leur rigueur et érudition, par un style à la fois alerte et élégant. Il était tenu en grande estime par ses pairs historiens espagnols notamment pour ses nombreux travaux sur la Guerre d’Indépendance et son approche novatrice en tant que guerre d’opinion entre propagande et contre-propagande. Un de ses ouvrages, objet de nombreuses rééditions depuis 1984 (Siglo XXI de España), demeure un manuel classique pour tous les étudiants en histoire en Espagne, ainsi que pour les étudiants hispanistes. Citons aussi La guerra de España contra la Revolución francesa, 1793-1795 (Alicante, Instituto de cultura Juan Gil-Albert, 1991) et L'Espagne contre Napoléon : la guerre d'Indépendance espagnole, 1808-1814 (Paris, Nouveau monde éd., Fondation Napoléon, 2003).
Après son départ à la retraite, un ouvrage d’hommage édité par Françoise Étienvre, professeur à l’Université de Paris 3, avait réuni une sélection de ses travaux, Voir, comparer, comprendre - Regards sur l'Espagne des XVIIIe et XIXe siècles (Paris, PSN, 2003). Le titre est évocateur d’une recherche en mouvement nourrie par le dialogue entre les cultures. Cet ouvrage dressait un panorama ordonné en trois axes reflets de sa recherche : l’Espagne des Lumières ; l’Espagne et la Révolution française –problématique où ses apports sont essentiels– ; et l’époque romantique. L’entrée dans l’éméritat et dans le nouveau siècle a inauguré une nouvelle étape qui s’est traduite par une production fertile. Deux commémorations, en particulier, allaient solliciter sa participation à des colloques en Espagne, en France et en Italie, les bicentenaires de 1808 et 1812, ajoutant à sa vaste bibliographie de nouveaux titres, fruits de nouvelles recherches, comme La Guerra de la Independencia: héroes, villanos y víctimas (1808-1814) (Lleida, Milenio, 2008). Mais il faut aussi mentionner, entre autres, ces deux ouvrages liés à ses thèmes de prédilection retravaillés et approfondis : Ilustración y Revolución francesa en España (Lleida, Milenio, 2005) et Españoles en París en la época romántica 1808-1848 (Madrid, Alianza Editorial, 2008), où il dressait une magnifique galerie de portraits de ces militaires, journalistes, politiques et artistes dans leur exil parisien.
Il lui tardait de pouvoir retourner en Espagne, à la sortie de ce confinement qui le privait des archives, des bibliothèques et de ses amis fidèles d’outre-Pyrénées. En infatigable chercheur qu’il a été jusqu’à son décès brutal, il venait d’achever un ouvrage sur l’émigration afrancesada et absolutiste en France dans les premières décennies du siècle, qui constituait la suite de La Guerra de la Independencia y la posguerra : Yo, para mi desgracia, estaba allí... : Los escritos de los prisioneros españoles deportados y de los emigrados afrancesados en Francia (1808-1820), dont le premier tome a été publié en 2016 (Madrid, FEHME) et qui fera l’objet d’une édition posthume. Il disparaît un an à peine après Claude Morange, maître de conférences honoraire de la Sorbonne Nouvelle, également remarquable dix-huitiémiste et spécialiste du libéralisme. La disparition de son camarade de promotion à l’ENS auquel l’avait toujours uni un compagnonnage amical et intellectuel l’avait profondément attristé.
Mais, pour nous, évoquer la figure de Jean-René Aymes ne peut se limiter au professeur, au chercheur et au directeur de recherches. À sa rigueur et à sa générosité intellectuelles s’ajoutaient la simplicité, la gentillesse et l’humour. Ce natif du Sud-Ouest, dont il avait conservé un léger accent, aimait les voyages, passion qu’il partageait avec son épouse Madeleine, disparue en décembre 2015, historienne de formation, qui avait aussi partagé son goût de l’archive et de l’étude. Ensemble ils avaient visité plusieurs pays andins, dont ils avaient rapporté une belle collection de huacos qui ornait le salon de leur appartement. Tous deux amateurs de musique, baroque notamment, ils étaient des habitués des concerts du Temple parisien des Billettes à la superbe acoustique. Une photo récente le représente dans le bureau de son appartement du XIIe arrondissement de Paris. Son air naturellement sérieux est éclairé par un regard clair et vif qui laisse deviner l’enthousiasme inquieto qui l’animait.
Marie-Angèle Orobon et Frédéric Prot
(Universités Sorbonne Nouvelle et Bordeaux Montaigne)
 
Legardeta, 9 de noviembre del 2020

Señores,

Es con gran pesar que tenemos que comunicar que hace tan sólo dos días falleció en Paris víctima del Covid-19 el ilustre miembro del Foro para el Estudio de la Historia Militar de España (FEHME) y Profesor Emérito de la Universidad de la Sorbona Jean-René Aymes.

Nacido en Fumel (departamento de Lot-et-Garonne), Jean-René fue uno de los hispanistas más reconocidos y admirados desde la publicación en 1978 de su tesis La déportation sous le Premier Empire. Les Espagnols en France (1808-1814). Conocedor profundo de nuestro idioma, enamorado de nuestra cultura y visitante frecuente de los archivos españoles, el Profesor Aymes era una persona sencilla, amable y dispuesta a ayudar a todos los que buscaban la luz de sus conocimientos. Tras nueve años en la Universidad de Caen, Aymes es contratado en la Universidad François Rabelais de Tours en 1979, donde impulsa la creación del CIREMIA (Centre interuniversitaire de Recherche sur l’Éducation et la Culture dans le Monde Ibérique et ibéro-américain), organizando frecuentes coloquios en Francia y España. En 1991 pasó a ejercer la cátedra de Español en la Sorbona Paris III.

Autor prolífico sobre temas del siglo XVIII y XIX, su erudición no le impidió escribir con fluidez y soltura sobre los temas más complejos. Es suyo un libro hoy convertido en manual imprescindible para acercarse a un período capital de nuestra historia: La Guerra de la Independencia en España (editado en 1974 por Siglo XXI Editores y reimpreso varias veces). El FEHME tiene previsto publicar a comienzos del 2021 lo que será el libro póstumo de Aymes: Yo para mi desgracia estaba allí (2ª parte).

Su extensa bibliografía incluye multitud de artículos y comunicaciones y ponencias sobre la literatura y la sociedad hispana en el siglo XVIII y XIX. Entre los libros recientes más destacados:

- Ilustración y Revolución francesa en España. Milenio. / 978-84-9743-155-2

- La Guerra de la Independencia: héroes, villanos y víctimas (1808-1814). Milenio / 978-84-9743-260-3

- La Guerra de la Independencia en España (1808-1814). Siglo XXI de España Editores / 978-84-323-1335-6

- Memorias sobre la guerra de los franceses en España. SÍLEX EDICIONES / 978-84-7737-439-8

- La Guerra de la Independencia (1808-1814): calas y ensayos. Doce Calles / 978-84-9744-091-2

- Españoles en París en la época romántica 1808-1848. Alianza Editorial / 978-84-206-8389-8

- La Guerra de la Independencia y la posguerra Yo, para mi desgracia, estaba allí…. Foro para el Estudio de la Historia Militar de España / 978-84-942122-9-1

- Aragón y los románticos franceses (1830-1860). Guara / 978-84-85303-87-8

- Francia en España, España en Francia. La historia de la relación cultural Hispano-Francesa (siglos XIX-XX). Ediciones Universidad de Salamanca / 978-84-7800-678-6

- Memorias sobre la guerra de los franceses en España. Servicio de Publicaciones de la Universidad de Cádiz / 978-84-9828-332-7

. Los españoles en Francia (1808-1814). Siglo XXI de España Editores / 978-84-323-0610-5

- La guerra de España contra la revolución francesa. Instituto Alicantino de Cultura Juan Gil-Albert / 978-84-7784-918-6

- España y la revolución francesa. Editorial Crítica / 978-84-7423-393-3

- Ilustración y liberalismo 1788-1814. PATRIMONIO NACIONAL / 978-84-7120-420-2

- L'Espagne contre Napoléon: La Guerre d'indépendance espagnole. Nouveau Monde / 978-2-84736-021-9

- Las visiones francesas de la Guerra de la Independencia. Fundación Gustavo Bueno / 978-84-92993-14-7

- La imagen de Francia en España (1808-1850). Universidad del País Vasco / 978-84-7585-924-8

Descanse en paz Jean-René, un amigo de España y un investigador incansable de nuestra historia.

José María Espinosa de los Monteros - Presidente FEHME


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